H2O Innovation annonce la clôture de son financement par endettement par l’entremise d’un prêt à terme non garanti précédemment annoncé d’un montant total d’environ 2,522 Millions de dollars canadiens auprès d’une institution financière canadienne et de certains individus incluant, notamment, MM. Richard A. Hoel et James Peterson. Le montant en capital porte intérêt au taux annuel de 11% à partir de la date de déboursement et est remboursable par des versements égaux mensuels du 1er juillet 2010 au 1er juin 2014.
À titre de contrepartie additionnelle pour les prêteurs, H2O Innovation a émis un total de 1.250.000 bons de souscription d’actions ordinaires. Chaque bon de souscription permet à son détenteur de souscrire à une action ordinaire de la Société au prix de 0,80 dollar canadien pour la première année, 0,90 dollar canadien pour la deuxième année, 1 dollar canadien pour la troisième année et 1,10 dollar canadien pour la quatrième année. Les Bons de souscriptions expireront le 30 juin 2013 et sont assujettis à une période de détention obligatoire statutaire de quatre mois. Dans le cadre de ce financement, des honoraires d’intermédiation totalisant 113.425 dollars canadiens ont été payés à Valeurs Mobilières Desjardins.
M. Richard A. Hoel, administrateur de H2O Innovation et détenteur de plus de 10% du capital social de la Société, ainsi que M. James Peterson, Directeur de l’exploitation de H2O Innovation, ont participé à ce financement en prêtant à la Société des montants de 201.502$ US et de 80.610 $ US pour lesquels ils ont reçu respectivement 111.945 et 44.783 bons de souscription.
Le produit net de ce financement sera utilisé en paiement d’une portion du prix d’achat de l’acquisition récente de Professional Water Technologies et de tous les coûts afférents à la transaction. Le produit net sera également utilisé par la Société afin de poursuivre sa croissance à la suite de l’acquisition, en sus de ses besoins en fonds de roulement (ces derniers étant désormais comblés par les fonds générés par les activités d’exploitation) et pour maximiser ses possibilités de croissance futures.
Charles Ledoux
