Russell Investments signe les Principes pour l’Investissement Responsable des Nations-Unies et annonce la création d’un comité mondial dédié au développement durable.
En signant les Principes pour l’Investissement Responsable des Nations-Unies (PIR), Russell Investments souhaite démontrer son engagement en faveur des questions environnementales, sociales et de gouvernance d’entreprise (ESG). « Russell a choisi d’adhérer aux PIR des Nations-Unies en raison de la demande croissante des clients en matière de conseils et de solutions stratégiques tenant compte des aspects ESG » déclare Andrew Doman, Président Directeur Général de Russell Investments. « Ces facteurs ont un impact non seulement sur les portefeuilles et la sécurité financière à long terme de nos clients mais également sur l’environnement professionnel et social dans lequel ils travaillent et vivent ».
Dans le cadre de ses nouveaux engagements comme signataire des PIR, Russell a décidé de créer le « Russell Sustainability Council », un comité mondial dédié au Développement Durable. Sous l’égide de ce comité, Russell Investments souhaite assurer la promotion des PIR des Nations-Unies et d’autres initiatives socialement responsables au sein du secteur de l’investissement, et surtout intégrer les problématiques ESG dans les travaux de recherche des gérants et le développement de produits.
Comme le souligne Serge Heringer, Directeur Général de Russell Investments en France: « Devenir signataire des PIR des Nations-Unies est une étape essentielle pour Russell Investments. Cette initiative renforce l’orientation de gestion déjà prise par nos équipes de recherche et qui nous a permis de lancer, au cours de l’été 2009, Global Climate Change Fund, un fonds dédié aux investissements responsables en matière de changements climatiques. Russell Investments s’est ainsi associé les services de professionnels mondialement reconnus dans ce domaine en fort développement. L’accueil des investisseurs, notamment scandinaves plus sensibles à ces thèmes d’investissement, confirme l’intérêt du marché ».
Charles Ledoux
