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Le maire de New York continue sa lutte pro-crypto

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Après la suspension du minage des cryptos PoW, le maire de New York, Michael Bloomberg, s’efforce de trouver un compromis avec les régulateurs.

Adams estime que, même si New York s’efforce toujours de devenir une puissance dans le domaine des cryptos, les initiatives prises à l’échelle de l’État pour réduire les émissions nocives inhérentes au minage de crypto peuvent être associées à cet objectif.

Peut-on allier minage de cryptos et protection environnementale ?

Selon des sources du 25 novembre, le maire de New York, Eric Adams, est toujours déterminé à faire de New York un centre de cryptomonnaie. Cela dit, il estime que cet objectif peut être lié à des mesures prises à l’échelle de l’État, visant à réduire les coûts environnementaux liés à l’extraction de cryptomonnaie.

Ces remarques font suite à la signature d’une nouvelle loi par la gouverneure de New York, Kathy Hochul, qui interdit le minage de crypto basées sous le modèle « preuves de travail » (PoW) dans l’État, et ce, pendant deux ans. Le maire, qui est un fervent défenseur des cryptomonnaies, a déclaré en juin qu’il demanderait au gouverneur d’opposer son veto à cette loi.

Adams a déclaré au New York Daily News qu’après l’approbation de la mesure, la ville s’engagerait auprès des législateurs pour équilibrer l’expansion de la crypto-économie avec les besoins législatifs : « Je vais m’engager avec les législateurs qui le soutiennent et les politiciens qui sont concernés, et je crois que nous parviendrons à un accord. »

Une restriction « à effet domino »

Selon Cointelegraph, la restriction adoptée sur le minage de PoW n’interdirait pas seulement les nouvelles opérations de minage, mais rejetterait également les renouvellements de licence des entreprises qui opèrent actuellement dans l’État. Toute nouvelle installation de minage PoW dans l’État ne sera autorisée que si elle est entièrement alimentée par des énergies renouvelables.

Le maire de New York, Eric Adams, partisan des cryptomonnaies, s’est prononcé en faveur de l’interdiction, pendant deux ans, des entreprises qui exploitent les cryptomonnaies en utilisant des sources d’énergie à base de carbone. L’interdiction partielle, qui empêche les entreprises engagées dans le minage de preuves de travail (PoW) de se développer, de renouveler ou d’obtenir de nouvelles licences, sera mise en œuvre grâce à la législation que le gouverneur Kathy Hochul a approuvée mardi.

Le minage par preuve de travail est spécifiquement mentionnée dans l’interdiction du minage à New York comme une méthode à forte intensité énergétique pour valider les transactions de la blockchain pour les cryptomonnaies comme le bitcoin. Les contraintes auraient un impact sur les sociétés de minage qui n’emploient pas d’énergie renouvelable pour générer les énormes quantités d’électricité nécessaires à leurs systèmes informatiques de haute technologie.

Adams, fervent partisan des cryptomonnaies, a déclaré cette semaine qu’il n’était pas préoccupé par l’effondrement récent de FTX, qui était l’une des plus grandes bourses d’échange d’actifs numériques au monde avant de déposer le bilan en novembre en raison de graves problèmes de liquidités. Il a souligné que « nous devons accueillir » les secteurs des cryptomonnaies et de la blockchain malgré leurs défauts.

Le maire ne semble pas être seul dans sa politique

Le maire a déclaré en juin que si la mesure passait à l’assemblée et au sénat de l’État, il convaincrait Hochul, son alliée politique, de la rejeter. Adams s’est engagé à dialoguer avec les partisans et les détracteurs des cryptomonnaies dans une déclaration au Daily News vendredi, en disant : « J’ai donné mes opinions…. C’est ainsi que fonctionne notre gouvernement ».

Bloomberg affirme qu’en raison de la pression exercée par le secteur, le gouverneur de New York a retardé la signature de la mesure. Dans un document juridique, Kathy Hochul a promis de « veiller à ce que New York reste un centre d’innovation financière, tout en déployant des efforts importants pour soutenir la préservation de l’environnement. »

Avant même l’adoption de la loi sur le minage, Mme Hochul a affirmé que la nouvelle réglementation favoriserait la croissance des cryptomonnaies et l’utilisation de sources d’énergie renouvelables comme l’hydroélectricité. Néanmoins, New York a longtemps été considéré comme une juridiction difficile pour lancer une entreprise basée sur des actifs numériques.

Selon le rapport, Adams a fait un effort pour modifier cette impression en affirmant que le bitcoin est une composante d’une frontière financière plus large que le gouvernement doit franchir. « Les gens ont des opinions divergentes sur plusieurs aspects de cette loi. Je connais bien Albany. Revenons en arrière. Regardons-les maintenant. » Il aurait déclaré que la ville d’Emerging York devrait montrer la voie dans ces deux technologies et d’autres technologies émergentes.

Les États-Unis sont en tête des autres pays, concernant le taux de hachage de Bitcoin par nation, avec 37,8 % du taux de hachage de tout le réseau Bitcoin. L’interdiction de deux ans du minage PoW pourrait coûter cher, ce qui pourrait inciter d’autres États à suivre le mouvement.

« Nous devons établir un environnement hospitalier pour toutes les technologies. Et la crypto est l’une des technologies envisagées », a déclaré M. Adams. « Le défi est de savoir comment prendre des décisions judicieuses pour positionner la ville de New York — et l’Amérique — comme des leaders dans cette nouvelle technologie », a ajouté Adams.

Un fervent défenseur des cryptos avant sa prise de pouvoir

Après son élection, l’homme politique a déclaré sur Twitter qu’il accepterait ses trois premiers salaires en cryptomonnaies et qu’il entendait faire de la ville de New York la « capitale du secteur des cryptomonnaies. »

New York dispose d’une réglementation sur le commerce des cryptomonnaies parmi les plus strictes du pays. L’État a mis en place le dispositif réglementaire BitLicense en juin 2015, qui a été condamné pour son caractère anti-crypto. BitLicense s’applique aux sociétés de crypto qui transfèrent, achètent, vendent, négocient ou émettent des cryptomonnaies.

 

Adem

Adem

Amateur de crypto-monnaies depuis plus de six ans, Adem s'intéresse désormais à toutes les technologies du web3, dont les NFT et le Métavers. Tout a commencé en 2016 lorsqu’il a découvert le monde fascinant des cryptos et de la blockchain. Il s’est immédiatement intéressé à ces sujets, jusqu'à y investir en 2017, juste avant leur explosion de masse. Il apprécie la possibilité de posséder véritablement une monnaie sans être lié à aucune institution.

Et même en étant encore assez jeune pour réellement cerner le potentiel d’une telle révolution, il trouvait déjà cela attrayant à l'époque. En août 2021, il achète son premier NFT d'art sur la marketplace OpenSea, et il tombe amoureux de cet univers. Enfant, il était un grand fan des cartes Pokémon à collectionner, alors ce monde lui a tout de suite parlé. C’est amusant et, d’une certaine manière, cela le replonge en enfance. De plus, il adore la possibilité de posséder complètement une pièce d'art, et le côté collection/rareté est quelque chose qu’il trouve réellement excitant.

Adem a étudié le marketing à l'école de commerce l’EDHEC. Cet intérêt grandissant l'a mené à rédiger des nouvelles et des articles divers sur ce thème pour de nombreux sites français, dont Cryptonaute et Business2Community. Il a commencé à écrire des articles il y a près de cinq ans, et il a commencé à collaborer avec Business2Community, il y a presque un an. Cela lui permet de combiner son activité professionnelle et son intérêt, qui ne cesse de grandir, pour le web3 et la blockchain.

Adem se tient perpétuellement au courant des dernières tendances et des développements autour des NFT et des crypto-monnaies, car il s’agit d’un secteur qui évolue très rapidement. En dehors de ses intérêts professionnels, il se considère comme une personne créative. Il aime apprendre de nouvelles choses, découvrir de nouveaux horizons et tester de nouvelles activités. Actuellement, il est en train de se consacrer au piano, qui est de loin son instrument de musique favori !

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