Les meilleures crypto-monnaies africaines en 2025

L’Afrique est un continent disparate, notamment en matière d’adoption des crypto-monnaies. Il y a des pays où investir dans les actifs numériques est strictement interdit, et d’autres qui sont des pionniers du domaine. Le marché est tout de même en plein développement sur le territoire, avec plus de 100 milliards de dollars échangés rien que dans l’Afrique Subsaharienne. 

Certes, cela ne représente que 2 % de l’activité mondiale liée aux crypto-monnaies. Cependant, lorsque l’on considère que leur usage est interdit dans environ une dizaine de pays du continent, cela représente un pourcentage important. Des pays comme l’Algérie, le Maroc, ou encore la Libye, n’autorisent pas l’utilisation et l’investissement en crypto-monnaies.

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Les crypto-monnaies qui gagnent en popularité en Afrique

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Beaucoup de crypto-monnaies africaines sont développées par des ONG. Elles aident à veiller au bon développement de ces pays, et à l’amélioration du bien-être des populations. D’autres permettent de faire des échanges de valeur numériquement, dans des pays où l’instabilité géopolitique et économique rend ces transferts difficiles.

En effet, de nombreux habitants sont encore en marge du système bancaire. De plus, l’instabilité qui règne parfois dans certains de ces pays crée des tensions qui empêchent parfois d’accéder à ces services. Il ne faut également pas oublier que pour les pays avec un faible développement, l’inflation de la monnaie est galopante.

Face à tous ces problèmes, la crypto-monnaie, ainsi que la technologie blockchain, ont beaucoup à apporter. Ce n’est pas un hasard si plusieurs pays sont des pionniers du domaine, comme le Nigeria et le Kenya, qui se situent respectivement au rang 11 et 19 en termes d’adoption. Pour comparer, la France n’est qu’à la 32ème place de ce classement. 

D’autres pays sont plutôt progressistes sur la question. C’est le cas du Sénégal, de l’Afrique du Sud, du Sierra Léone ou encore de la Tunisie. Enfin, d’autres nations n’ont pas encore statué sur le sujet, comme le Cameroun, la Tanzanie ou encore l’Ethiopie. 

En s’ouvrant aux actifs numériques, les pays permettent à leurs habitants d’accéder au Bitcoin par exemple, réputé pour ses qualités contre l’inflation. D’autres réseaux sont à très faible coût, et permettent ainsi de minimiser la charge liée aux services bancaires. Enfin, des crypto-monnaies spécifiques comme l’Akoin vise à améliorer l’inclusion financière dans ces pays. 

On comprend donc l’intérêt des crypto-actifs en Afrique, mais gagnent-elles vraiment en popularité sur le continent ? Pour quelles raisons sont-ils de plus en plus nombreux à s’intéresser aux actifs numériques ? Regardons de plus près le cas spécifique des crypto-monnaies en Afrique. 

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Pourquoi les crypto-monnaies gagnent-elles en popularité en Afrique ?

Comme nous l’avons expliqué précédemment, l’Afrique est un continent qui fait face, dans sa globalité, à des défis économiques majeurs. Tout d’abord, il y a l’inflation. Cette dernière varie fortement dans de nombreux pays, et atteint des niveaux records certaines années. 

Cette particularité est étroitement liée à la mauvaise gestion des monnaies locales, et à l’absence de leviers de force de ces devises dans les échanges internationaux. De ce fait, selon le contexte international, les monnaies locales peuvent parfois être fortement dévaluées, menant à une inflation importante, laissant la population en difficulté extrême. 

De plus, les populations locales sont parfois peu incluses dans le système bancaire. En effet, nombreux habitants de pays d’Afrique n’ont pas de compte bancaire, ou n’ont pas accès à une infrastructure fiable pour la gestion de leurs comptes, et l’échange de la monnaie. 

Face à ces nombreux défis, les crypto-monnaies peuvent jouer un rôle important et aider les pays africains dans leur économie locale. Tout d’abord, plusieurs actifs numériques, et particulièrement le Bitcoin, sont connus pour leur propriété anti-inflation. Cela permettrait à ces pays, ou au moins à leurs habitants, d’accéder à un actif qui ne se dévalorise pas avec le temps. 

Pour l’inclusion dans le système bancaire, il est important de noter que les crypto-monnaies fonctionnent de manière décentralisée. Il suffit d’avoir accès à un système informatique, ou un à un téléphone portable, pour accéder à ses fonds, et pouvoir les transférer. Certes, cela ne s’adresse pas à tout le monde, mais une partie des habitants peut en bénéficier. 

N’oublions pas que ces réseaux décentralisés permettent des transferts à l’international, ce qui n’est pas souvent le cas dans ces pays. De plus, ces opérations peuvent être faites à moindre coût. 

Comme nous l’avons vu, des pays majeurs en termes de développement en Afrique, sont des pionniers des crypto-monnaies. C’est le cas du Kenya et du Nigeria, où de nombreuses plateformes locales permettent dorénavant l’investissement dans les crypto-actifs. 

Les populations locales sont particulièrement intéressées par des actifs à faible capitalisation boursière, et donc risqués. Une stratégie qui s’explique par les faibles moyens des habitants, qui recherchent donc des multiplicateurs importants. Des cryptos comme le Wepe, Crypto All-Stars, Catslap, Flockerz, Best Wallet ou encore Pepu sont populaires. 

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Les critères pour sélectionner les meilleures crypto-monnaies africaines

Pour sélectionner les meilleures crypto-monnaies en Afrique, il est important de se fier à quelques critères qui vont permettre d’orienter votre choix. Plusieurs facteurs peuvent être pris en compte : 

• La sécurité : il s’agit probablement du point le plus important. Il est important de s’assurer de la sécurité du contrat du token, et de tous les contrats liés au produit développé. Pour cela, soyez attentif aux possibles audits de sécurité réalisés. S’il y en a aucun, il convient alors d’être encore plus prudent
• L’adoption locale : en Afrique, les disparités géographiques mènent à des adoptions irrégulières sur le territoire. Il est important de choisir une crypto-monnaie qui est relativement adoptée près de chez soi. En effet, le faible intérêt pour une crypto, ou l’absence d’adoption locale, pourrait mener à une inutilité dans votre vie quotidienne. Dans une optique d’investissement, cela est moins important
• La liquidité : il est important de veiller à une bonne liquidité. En effet, cela permet d’assurer les échanges liés à votre crypto-monnaie. Plus il y a de la liquidité, notamment verrouillée, plus vous vous assurez de la stabilité des échanges liés à cette dernière
• L’intérêt commun : la crypto-monnaie en Afrique possède une dimension utilitaire, qui vise à résoudre les problèmes et les défis locaux. Il est préférable de sélectionner une crypto innovante, qui répond à une problématique, et qui permettra d’améliorer votre vie quotidienne ou votre niveau de vie à l’échelle locale

Un autre élément est à prendre en compte : l’inégalité des infrastructures locales comme les sites d’achat de crypto-monnaies et les exchanges en Afrique. Tous les pays n’utilisent pas la même plateforme, et les plateformes listent les actifs numériques qu’elles souhaitent. De ce fait, une crypto-monnaie qui vous intéresse n’est pas garantie d’être présente sur l’exchange local. 

Ainsi, il convient d’abord de consulter le catalogue de la plateforme fonctionnelle dans votre pays, et qui vous garantit un accès facile et sécurisé. Ensuite, vous pouvez utiliser différents critères, comme ceux présentés ci-dessus, pour essayer de faire un choix. 

Certaines crypto-monnaies apportent des avantages significatifs au regard des problématiques sur le continent Africain. Par exemple, Solaxy développe un layer-2 de Solana, afin de garantir des frais de transaction extrêmement faibles, et des performances importantes. Bien que ce projet n’en soit qu’au stade prévente, il s’agit d’un espoir intéressant pour réduire les coûts.

De même, Meme Index essaie de proposer une exposition globale à de nombreux memecoins, grâce à seul et unique actif. Il s’agit d’une aubaine dans certains pays où les exchanges possèdent un catalogue limité de crypto-monnaies. Enfin, SpacePay transforme et facilite la manière de payer, sans nécessité d’accès au circuit bancaire. 

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Top 10 des meilleures crypto-monnaies africaines

Nous avons regardé de plus près le cas particulier de l’Afrique et des crypto-monnaies. Maintenant, il est temps de regarder du côté des meilleurs actifs qui gagnent en popularité sur le continent. 

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1. Wall Street Pepe : L’avantage pour les petits portefeuilles

Wall Street Pepe ($WEPE) est un memecoin créé spécifiquement pour révolutionner la manière d’investir des petits portefeuilles. Dans le monde de la finance, il y a ce qu’on appelle des whales. Ces dernières sont des gros portefeuilles, qui bien souvent ont accès à des chats privés et des informations importantes d’une manière précoce. 

Wall Street Pepe souhaite changer le système, en permettant à des petits portefeuilles de s’unir pour ne former qu’un groupe, capable de rivaliser avec les whales. L’objectif est simple : prendre les gros portefeuilles à leur propre jeu, et permettre à tout le monde de jouer avec les mêmes règles. 

Ce type de solution est extrêmement intéressant, notamment en Afrique, où les petits portefeuilles sont nombreux, et peuvent peser plus sur les marchés en ne faisant qu’un. Par exemple, l’adoption croissante du Wepe au Cameroun ou encore en Côte d’Ivoire démontre l’intérêt des habitants pour la solution développée.

En investissant dans Wall Street Pepe, vous gagnez l’accès à un chat privé, à des informations importantes, et profitez des efforts de tout un chacun. Comme le dit très bien l’adage : l’union fait la force, et cela est une vérité certaine dans le monde des crypto-monnaies.

Les crypto-actifs représentent un investissement risqué.

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2. Crypto All-Stars : le staking unifié de memecoins

Crypto All-Stars est également un projet de memecoin. Cependant, il diffère car l’équipe développe un produit innovant répondant au nom de “MemeVault”. Il s’agit d’un protocole de staking unifié. 

Pour rappel, le staking est un acte par lequel des investisseurs peuvent verrouiller des crypto-monnaies dans un contrat, dans le but de générer des rendements. Grossièrement, cela s’apparente à de l’épargne décentralisée.

Crypto All-Stars souhaite proposer un protocole unique, où vous pourrez mettre en jeu la plupart des memecoins les plus populaires. Cela répond à un double défi sur le continent africain. Tout d’abord, les memecoins sont une classe d’actifs très performants ces derniers temps, à l’inverse des monnaies locales fortement inflationnistes.

Nous tenons tout de même à rappeler la forte volatilité des memecoins, qui présentent donc des risques importants à considérer avant d’investir. La deuxième problématique visée est l’absence de solution de capitalisation viable dans les systèmes bancaires en Afrique. Avec le MemeVault, vous pourrez sûrement générer des rendements sur des actifs à fort potentiel. 

Pour le moment, le MemeVault n’est pas encore officiellement sorti. Cependant, sur le papier, cela offre des avantages certains, notamment en Afrique. Ce produit devrait rapidement voir le jour, et nous espérons qu’il tiendra toutes ses promesses. 

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3. Best Wallet : le meilleur portefeuille de 2025 ?

Best Wallet est un portefeuille numérique, qui permet de stocker des crypto-monnaies, et ce dernier est disponible en Afrique. Il permet d’envoyer des actifs numériques, d’en acheter à l’aide de différentes méthodes, et même de les échanger contre d’autres actifs (swap).

Jusque-là, vous allez me dire que cela n’est pas exceptionnel pour un portefeuille. Pourtant, Best Wallet permet toutes ces actions d’une manière optimisée, en calculant les meilleurs chemins, pour garantir les frais les plus bas possibles. De plus, il est redoutablement efficace et permet d’agir très rapidement.

Au-delà de ses capacités, il est également très innovant. D’ailleurs, une fonctionnalité “Upcoming Tokens” est présente, et elle liste toutes les crypto-monnaies les plus prometteuses, actuellement en pré-vente ou qui devraient rapidement voir le jour. 

Cet outil est très apprécié, car il permet de réunir en un seul endroit parmi les meilleures opportunités du marché. Cela a un intérêt certain en Afrique, où il est important d’avoir accès à ces actifs tôt dans leur processus, pour maximiser les chances de gain. Bien évidemment, rien n’est sûr en cryptomonnaies, et nous vous conseillons de faire vos propres recherches (DYOR). 

D’ailleurs, le token de Best Wallet est actuellement en pré-vente. Il offrira divers avantages dans l’utilisation du portefeuille, dont une meilleure optimisation de ce dernier, pour minimiser encore les coûts. En clair, Best Wallet fait tout ce que fait un portefeuille classique en mieux, et plus encore ! 

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4. Catslap : le memecoin de chat qui gifle 

Catslap est un memecoin basé sur le meme du chat qui met des gifles. Il se démarque par sa stratégie à la fois ludique et sociale. Sur le site, il est possible de mettre des gifles à l’aide d’un simple clic sur la souris. Vous avez accès à un classement par pays, où les habitants giflent le plus. 

Bien que cela soit amusant, cela a également un intérêt financier. En effet, le fait de gifler sur le site vous rend éligible à des récompenses, et possiblement à un airdrop. Une manière simple et ludique d’essayer de gagner des crypto-monnaies gratuitement.

Catslap se démarque également par son marketing, très à l’écoute de sa communauté et des investisseurs. L’aspect social est loin d’être négligé, et chaque individu qui participe activement au succès du projet a une chance d’être récompensé. 

Ce memecoin a gagné en popularité au sein de la jeunesse africaine, car il s’inscrit dans un mouvement où les habitants prennent de plus en plus en main le sujet des crypto-monnaies. Les memecoins constituent une classe d’actifs qui a démontré ses capacités de rendement ces derniers mois. Évidemment, rien n’est garanti avec les crypto-monnaies, nous vous conseillons d’être prudent. 

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5. Flockerz : le Vote-To-Earn au service des investisseurs

Flockerz est également un memecoin, et cette fois-ci aussi, il s’accompagne d’une utilité. Il s’agit du premier projet de memecoin basé sur un mécanisme de Vote-To-Earn. L’équipe est partie d’un constat clair : la gouvernance des projets reste centralisée et cela créer des projets qui finissent par ne plus être actifs. 

Pour répondre à cette problématique, Flockerz souhaite décentraliser la gouvernance, comme une DAO. Le fonctionnement est simple, toutes les décisions importantes, liées au projet et à son avenir, seront gérées par les votes des détenteurs du jeton.

De plus, pour inciter les utilisateurs à être actifs et à participer à cette gouvernance, les votes seront récompensés par des crypto-monnaies. Avec cette fonctionnalité, Flockerz souhaite révolutionner la manière de gérer les projets, et notamment les memecoins. 

L’équipe espère lancer une tendance où les investisseurs chercheront un mécanisme de Vote-To-Earn avant d’investir, afin de s’assurer de la décentralisation de la gouvernance. Cela est intéressant car Flockerz a une utilité, et cette dernière pourrait lui permettre d’être bien valorisé. De plus, cela permet aux détenteurs d’avoir un mot à dire dans l’avenir du projet.

C’est novateur, et cela permet de résoudre le problème de l’inclusion bancaire en Afrique. En effet, les habitants de ces pays ont un problème d’accès, mais également de considération, au sein du système bancaire. Avec le Vote-To-Earn, les détenteurs sont, par nature, inclus dans le projet, et récompensés pour leur participation. 

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6. Pepe Unchained : le Layer-2 d’Ethereum centré sur les memecoins

Pepe Unchained rentre aussi dans la catégorie des memecoins utilitaires. L’équipe développe un layer-2, un réseau de surcouche qui se superpose à une blockchain existante. Dans ce cas précis, le L2 de Pepe Unchained fonctionne par-dessus Ethereum.

La technologie utilisée est celle des rollups. Pour faire simple, Pepe Unchained va valider de nombreuses transactions dans son propre environnement. Régulièrement, le réseau envoie une preuve de validation à Ethereum, pour tout un groupe de transactions.

Grâce à ce procédé, les frais liés aux transactions sont beaucoup plus faibles, le réseau est également plus scalable, et les opérations gagnent en rapidité. Ce projet rencontre une popularité croissante en Afrique, où les habitants sont intéressés par ce réseau à faible coût et des transactions très rapides.

De plus, Pepu offre un launchpad de memecoins, ce qui permet d’accéder à de nombreuses opportunités. Avec tous ces points positifs, de nombreux investisseurs se tournent vers l’achat de $PEPU, pour s’exposer à cet écosystème en pleine évolution. N’oubliez pas de faire vos propres recherches (DYOR), sur ce projet qui pourrait révolutionner les paiements en Afrique. 

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7. Sponge : le renouveau du memecoin à succès

Sponge est un autre memecoin qui a connu le succès en 2023. De nombreux utilisateurs ont exprimé leur déception de ne pas avoir pu acheter ce memecoin la première fois. De ce fait, l’équipe a décidé de lancer Sponge V2, une version améliorée de la première crypto. 

Sponge v2 a rapidement gagné en popularité en Afrique, où les rumeurs sur son second lancement se sont rapidement propagées. À l’écriture de ces lignes, la crypto est déjà sortie, mais elle continue d’attiser les convoitises.

Ce projet n’est qu’un memecoin à but humoristique. Cependant, d’après les informations, un play-to-earn pourrait être développé. Il s’agit de jeux vidéo, où votre activité vous permet d’être récompensé avec des crypto-monnaies.

Dans les pays en développement, ce type de projet a énormément de succès. On se souvient notamment de la réussite d’Axie Infinity aux Philippines, où certains habitants en avaient même fait un travail à temps plein. Pour toutes ces raisons, Sponge v2 continue de créer de l’intérêt sur le sol africain. 

Les crypto-actifs représentent un investissement risqué.

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8. Solaxy : Le premier Layer-2 de Solana

Solaxy est également un memecoin utilitaire, et il développe, tout comme Pepe Unchained, une solution de Layer-2. La grande différence est que Solaxy construit son produit au-dessus de Solana, profitant ainsi d’une infrastructure déjà efficace et peu coûteuse. 

Pour rappel, Solana est l’un des écosystèmes les plus actifs de l’industrie des crypto-monnaies. Cette activité mène parfois à des transactions qui échouent, notamment à cause de l’usage de bots. 

De ce fait, Solaxy a décidé de résoudre ce problème en créant le tout premier réseau de surcouche pour Solana. Grâce à cette solution développée, les transactions sur le L2 de Solaxy seront extrêmement rapides, et presque gratuites. 

Cette crypto-monnaie a donc un intérêt certain en Afrique, où les habitants ne peuvent bien souvent pas se permettre de voir une transaction échouer, ou de payer des transactions à plusieurs dizaines de $. Solaxy pourrait bien devenir l’un des réseaux les plus scalables de tout le marché. 

Les crypto-actifs représentent un investissement risqué.

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9. Meme Index : Un seul actif pour tous les memecoins populaires

Nous avons parlé plus tôt des disparités, notamment liées aux différents listings des plateformes locales. Les habitants du continent n’ont pas toujours accès à certains projets, et cela diffère d’un pays à l’autre.

Le Meme Index est une crypto-monnaie qui se base sur les memecoins les plus populaires. Son cours reflète l’évolution de plusieurs memecoins simultanément, sélectionnés par la communauté. 

Grâce à cela, le projet connecte de nombreuses communautés autour d’un même projet. Ce rassemblement est particulièrement notable en Afrique, où de nombreux habitants, parfois de différents pays, soutiennent cette crypto-monnaie.

D’ailleurs, cela a tout son intérêt, car tous les memecoins populaires ne sont pas disponibles partout. De ce fait, en achetant le Meme Index, les Africains peuvent s’exposer à tous les memecoins les plus populaires, avec un seul actif. 

Le Meme Index a déjà démontré un potentiel viral aussi important que celui des memecoins qu’il représente. Bien qu’il n’y ait aucune certitude en crypto, ils sont nombreux à espérer voir ce jeton exploser. 

Les crypto-actifs représentent un investissement risqué.

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10. SpacePay : La révolution des paiements en crypto-monnaies

SpacePay pourrait être la prochaine révolution du paiement par crypto-monnaie. En effet, il s’agit d’une application compatible avec plus de 325 portefeuilles crypto. Cette dernière s’installe facilement, directement sur un terminal android (TPE), largement répandu à travers tous les commerces du monde entier.

Le principe est très simple : le client n’a qu’à scanner le QR Code affiché avec son portefeuille crypto, et à valider le paiement. Ensuite, le commerçant voit que la transaction a été effectuée, directement sur son TPE habituel. La vitesse de la transaction est presque instantanée. 

En Afrique, SpacePay a un intérêt certain. Tout d’abord, face à l’adoption croissante de ces actifs par les habitants, cela peut permettre aux commerçants de se mettre au diapason, à moindre coût. De plus, pour les habitants, cela leur permet d’utiliser directement leur crypto, sans avoir à repasser par leur monnaie, qui est très inflationniste et instable. 

Dans ces pays, bien souvent, les réseaux décentralisés sont plus fiables que les réseaux bancaires. Si vous souhaitez vous exposer à l’écosystème de SpacePay, vous pouvez acheter du $SPY, qui est la crypto-monnaie du projet. N’oubliez pas que l’investissement dans les actifs numériques présente des risques importants de perte. 

Les crypto-actifs représentent un investissement risqué.

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Focus sur les crypto-monnaies en Afrique : 3 pays à l’honneur

Comme nous l’avons vu, l’adoption des crypto-monnaies en Afrique est très inégale sur le continent. Nous avons décidé de nous intéresser au cas particulier de 3 pays, où le potentiel d’utilisation des actifs numériques est certain. Zoom sur le Cameroun, le Sénégal, et la Côte d’Ivoire. 

Cameroun : une adoption croissante

Au Cameroun, l’adoption de la crypto-monnaie est croissante. En effet, selon des données de 2022, plus de 867 000 personnes avaient investi dans les actifs numériques. Cela représente environ 3,12 % de la population. Parmi les actifs en tête, on retrouve notamment le Bitcoin, actif le plus populaire du marché. Le Solaxy gagne également en popularité.

Cette adoption croissante peut s’expliquer par les défis économiques locaux, avec une monnaie faible sur la scène internationale. De plus, une large partie de la population n’est pas incluse dans le système bancaire. Ainsi, de nombreux Camerounais sont à la recherche d’alternatives, et ils sont de plus en plus nombreux à opter pour les crypto-monnaies. 

Plusieurs plateformes locales, comme Ejara et Barkachange, facilitent l’accès aux crypto-monnaies pour les habitants du pays. Cependant, pour le moment, le gouvernement n’a pas encore défini de cadre réglementaire clair au sujet des actifs numériques. Un constat qui pourrait changer prochainement, au vu de la popularité croissante de cette classe d’actif. 

Sénégal : les crypto-monnaies en Afrique de l’Ouest

Pour le Sénégal, une nette tendance se dessine également, bien qu’elle soit encore plus faible qu’au Cameroun. D’après les mêmes données de 2022, plus de 284 000 personnes ont passé le pas et ont acheté des cryptoactifs. Cela représente environ 1,62 % de la population du pays.

Du côté des centres d’intérêt, la population locale s’est beaucoup penchée sur la question des portefeuilles numériques, et Best Wallet est très populaire auprès des Sénégalais. De même, bon nombre d’entre eux sont à la recherche de solutions à faible coût pour transférer leurs actifs, et une grande partie regarde du côté de Pepe Unchained ($PEPU). 

De plus, les Sénégalais sont également adeptes des solutions de paiement transfrontaliers peu onéreuses, comme celles que nous vous avons présentées ci-dessus. De nombreuses plateformes en ligne, et des initiatives locales émergent, pour promouvoir l’utilisation des actifs numériques, et proposer une éducation sur le sujet. 

Du côté de la réglementation, le Sénégal, et plus généralement l’Afrique de l’Ouest, n’a pas défini de cadre clair. En effet, le Sénégal fait partie de l’UEMOA (Union Économique et Monétaire Ouest-Africaine), et les autorités monétaires ne semblent pas encore s’être penchées sur le sujet. 

Côte d’Ivoire : une tendance marquée

Du côté de la Côte d’Ivoire, en 2022, environ 2 % de la population avait investi en crypto-monnaies, soit plus de 550 000 personnes. Là aussi, le pays fait face à des problématiques qui imposent aux habitants de trouver des alternatives. 

Tout d’abord, la monnaie locale, le franc CFA (très répandu dans les pays africains francophones) est très inflationniste. De ce fait, l’argent continue de se dévaluer à mesure que le temps passe, sans que les habitants ne puissent rien y faire.

Les crypto-monnaies, et notamment le Bitcoin, sont considérées comme des bons moyens de contrer l’inflation. La population locale est à la recherche d’opportunités d’investissement, comme le Wepe ou encore le Meme Index, qui permettent de maximiser ses chances dans ce secteur à fort risque. 

De nombreuses plateformes sont créées, à la suite d’initiatives locales qui sont de plus en plus courantes. Dans un monde où l’industrie des cryptos ne cesse de progresser, il est possible d’imaginer que la Côte d’Ivoire se positionne comme un hub du secteur en Afrique. 

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L’avenir des crypto-monnaies en Afrique 

Tout d’abord, lorsque l’on jette un coup d’œil global au secteur des crypto-monnaies dans le monde, on se rend compte que l’adoption croissante est un phénomène planétaire. De ce fait, il paraît presque inévitable que l’Afrique connaisse un destin similaire.

De plus, en considérant les défis économiques nombreux sur le continent, il paraît encore plus évident que l’avenir des actifs numériques sur ce territoire est positif. En effet, les cryptoactifs peuvent aider à résoudre de nombreux problèmes et défis que rencontrent les Africains.

En termes d’adoption, les modèles les plus optimistes imaginent que 20 % à 30 % de la population active africaine auront investi dans les crypto-monnaies d’ici à 5 ans. Un nombre qui pourrait être porté à plus de 50 % si l’on regarde à un horizon à 10 ans.

Le principal moteur, et en même temps frein à cette adoption, est l’inégalité des régulations à travers le continent. Certains pays, comme le Botswana, ont adopté des lois innovantes sur le sujet, en instaurant un système de licence pour les acteurs locaux. D’un autre côté, des pays comme l’Ethiopie et la Tanzanie ont déclaré les actifs numériques illégaux. 

Au fur et à mesure que la réglementation locale évoluera, nous verrons de plus en plus de plateformes voir le jour, et faciliter l’accès aux crypto-monnaies en Afrique. De plus, la demande des habitants continue d’augmenter, ce qui incite de plus en plus d’entreprises à passer le pas, et à proposer ce genre de services, créant un cercle vertueux.

Enfin, de nombreux projets innovants peuvent avoir un impact significatif sur le quotidien, mais aussi sur l’inclusion financière des populations africaines. C’est le cas de projets prometteurs, comme Solaxy et Meme Index, qui facilitent à la fois les transferts de fonds à faible frais, et l’accès aux cryptoactifs. 

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Défis et risques des crypto-monnaies en Afrique 

Le premier défi qui se présente à l’adoption des crypto-monnaies en Afrique est évidemment la régulation, et le manque d’éducation financière. L’absence d’un cadre clair dans une grande majorité des pays du continent entrave l’adoption des actifs numériques, et les initiatives qui y sont liées. 

Ce qui est également difficile est l’inégalité de cette réglementation sur le territoire. En effet, des pays interdisent complètement cette classe d’actifs, comme l’Ethiopie, ou encore l’Algérie. D’un autre côté, des pays souhaitent accueillir cette finance novatrice, comme le Nigeria ou encore l’Afrique du Sud. 

Il n’est certes pas nécessaire que tous les pays d’Afrique se mettent au diapason pour permettre une adoption plus généralisée. Cependant, il faut absolument que la réglementation évolue, et donne un cadre, qui favorise ou non, l’utilisation des actifs numériques. 

Un autre défi est le manque d’éducation financière et numérique. En effet, les crypto-monnaies rencontrent déjà ce genre de difficultés dans les pays occidentaux, et ces dernières sont encore plus importantes en Afrique. La population est peu éduquée sur les sujets financiers, ce qui pourrait mener à la propagation d’arnaques et d’escroqueries.

Il ne faut pas oublier que les crypto-monnaies sont des actifs très fortement volatiles. D’ailleurs, des crypto-monnaies d’initiatives africaines n’échappent pas à cette règle, et leur faible liquidité rend ce phénomène encore plus fort. La volatilité peut mener à des pertes importantes, qui peuvent être plus graves pour les petits portefeuilles mal gérés. 

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Conclusion : les meilleures crypto-monnaies africaines

Les défis économiques sont donc nombreux sur le continent africain. Entre l’inflation galopante des monnaies locales, et la faible inclusion bancaire des populations, la technologie blockchain et les crypto-monnaies peuvent présenter un intérêt important en Afrique. 

À mesure que cette classe d’actifs gagne en popularité dans le monde entier, de nombreux pays en développement comme El Salvador embrassent cette tendance. Il paraît indispensable qu’une régulation claire se mette en place sur le continent, pour permettre aux initiatives locales d’être créées et soutenues. L’avenir financier de l’Afrique pourrait grandement être influencé par les décisions prises dans les prochains mois.

De plus, la population locale semble être de plus en plus en demande de ce genre d’actifs. Des projets comme Wall Street Pepe, Crypto All-Stars, ou encore Best Wallet, ont rapidement gagné en popularité sur le continent. 

Ainsi, il sera important de suivre la politique menée au sein des pays africains sur les prochains mois. Si certaines nations s’emparent du sujet, en priorisant la réglementation et l’éducation, alors elles pourraient profiter de l’expansion du secteur, et peut-être commencer à rendre leur système financier plus stable. 

Les crypto-actifs représentent un investissement risqué.

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FAQ : la réponse à vos questions sur les crypto-monnaies africaines