Le 18 février dernier, un dossier auprès de la Security and Exchange Commission (SEC) dans lequel le PDG d’Activision Blizzard, Bobby Kotick, est accusé de viol et de harcèlement a été rendu public. Un jour après que le scandale ait éclaté, le PDG de Microsoft, Satya Nadella, lui aurait proposé d’engager les pourparlers pour l’acquisition d’Activion Blizzard.
Les vieux dossiers concernant Kotick refont surface
Les rumeurs concernant des accusations de viol et de harcèlement au conseil d’administration de l’entreprise Activision Blizzard à l’encontre de Bobby Kotick vont bon train. Rappelons que tout a commencé lorsqu’un dossier de la Security and Exchange Commission (SEC) de Wall Street a été rendu public.
Cela n’a pas découragé le PDG de Microsoft, Satya Nadella, qui souhaite toujours faire l’acquisition d’Activision Blizzard. De son côté, Phil Spencer, responsable d’Xbox, n’a pas bien digéré la nouvelle et a clamé vouloir revoir tous les aspects de la relation entre Xbox et Activision Blizzard.
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Kotick devrait quitter son poste et repartir avec 410 millions de dollars.
Une acquisition de 68,7 milliards de dollars
Deux mois après, la transaction a abouti et Microsoft s’est offert Activision Blizzard pour la somme de 68,7 milliards de dollars. Kotick est resté PDG d’Activision Blizzard mais est désormais sous les ordres de Spencer puisque l’entreprise compte désormais dans la division Microsoft Gaming. Une fois que Microsoft aura pris les rênes administratifs, Kotick devrait quitter son poste et repartir avec 410 millions de dollars.
A noter que les actions d’Activision Blizzard ont enregistré une baisse de 10 $ après que le scandale ait éclaté. Une semaine après, Spencer offrait 80$ pour acheter actions de Kotick, soit 20$ de plus que la clôture de la veille. Pour faire jouer la concurrence, Kotick avait lancé Activision Blizzard sur le marché, mais en fin de compte, c’est Microsoft qui a gagné. Reste à savoir si Kotick va rester à son poste où s’il quittera définitivement le navire très prochainement.
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