Cerep annonce la signature d’un accord cadre de partenariat avec Servier pour la découverte et l’optimisation de nouveaux médicaments. Cet accord est d’une durée initiale de 3 ans.
Servier identifiera des cibles d’intérêt et Cerep réalisera le développement et la validation des tests pharmacologiques correspondants. Servier mettra d’autre part à la disposition de Cerep ses collections de molécules pour la réalisation de campagnes de criblage à haut-débit sur les cibles sélectionnées.
Dans le cadre de cet accord, Servier confiera également à Cerep le profilage in vitro des composés actifs retenus à l’issue de l’étape de criblage à haut-débit et les candidats-médicaments optimisés sur les cibles d’intérêt. Les résultats des études menées par Cerep seront disponibles en temps réel grâce au service sécurisé Data OnLine de Cerep.
Enfin, Servier pourra bénéficier des services BioPrint de Cerep pour une meilleure interprétation des données in vitro et la sélection des candidats-médicaments présentant le moins d’effets secondaires et le meilleur profil de sécurité.
Les termes financiers de cet accord – qui prévoit un paiement forfaitaire mensuel pendant les 3 ans de la collaboration – ne sont pas divulgués.
Thierry Jean, Président-directeur général de Cerep, a commenté : « Servier est un partenaire historique de Cerep et nous avons toujours entretenu d’excellentes relations. Nous sommes particulièrement heureux de la conclusion de ce partenariat qui démontre la confiance et le respect mutuels que se portent nos deux sociétés. »
Emmanuel Canet, Président de la Recherche et du Développement de Servier, a déclaré : « Avec cet accord, Servier franchit une nouvelle étape dans sa volonté de contribuer au progrès médical et à l’innovation thérapeutique, et confirme son engagement auprès des sociétés de recherches et de biotechnologies innovantes en France. »
Bernard Marchand, Directeur de la Recherche de Servier, a ajouté : « L’expertise de Cerep dans le développement de nouveaux modèles pharmacologiques, son organisation et sa maîtrise de la gestion des chimiothèques et du criblage de composés, ainsi que l’accès à son outil BioPrint, en font un partenaire de choix pour nos nouveaux programmes de recherche. »