Réunis mercredi 12 septembre 2012, les inspecteurs de la Troïka composée de la Banque centrale européenne, la Commission européenne ainsi que le Fonds monétaire international n’ont approuvé qu’une partie du plan de réductions de dépenses soit les mesures correspondant à 7,5 Mds d’euros sur les 12Mds d’euros réclamés. Cette réunion a pour objectif de déterminer si effectivement le gouvernement grec entend respecter les clauses fixées pour l’aide internationale.
Par ailleurs, si depuis plusieurs mois le premier ministre grec, Antonis Samaras évoquait la prochaine privatisation d’OPAP détenue à 34 % par l’État, il a annoncé hier à l’UE, le FMI et la BCE que dès la semaine prochaine, 29 % du capital de la société d’État seront mis en vente. C’est une première étape franchie par l’État en termes de réformes. En effet, il a fait un grand pas en avant en cédant son monopole sur l’une des plus rentables des principales compagnies de paris européennes cotées.
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