Après avoir étudié pas moins de neuf issus possibles afin de résoudre les difficultés de surcapacité de rendement de voitures légères notamment en Europe, PSA Peugeot Citroën a annoncé la prochaine fermeture de PSA d’Aulnay. Bien que le constructeur automobile français opte pour un gain de 108 M d’euros annuel en frais fixes, il reconnaît sacrifier une part importante de sa production soit 44 % en 2011.
Cette décision d’arrêter une usine automobile employant 3 000 travailleurs est sollicitée par un cout de main-d’œuvre plus important comparé à l’Espagne ou la Slovaquie selon Philippe Varin, à la présidence de la direction générale de PSA. Par souci de sécurité financière et se refusant tout pré ou aide de l’État, le groupe préfère accroitre sa production de petites voitures à bas prix dans ces pays voisins en fermant PSA d’Aulnay en 2014.