L’éviction de Denis Hennequin a notamment fait réagir les représentants des salariés. Ils ont ainsi dénoncé un « coup d’Etat » des deux principaux actionnaires (la société d’investissements Eurazeo et le fonds Colony Capital).
Ils ont remercié l’ancien PDG pour « son travail accompli, son indépendance, son sens de l’innovation, son grand courage face à des fonds d’investissements impitoyables ». Des manifestants ont par ailleurs dénoncé la stratégie d’Eurazeo et Colony Capital, qui conduit, selon eux, Accor « à la catastrophe, et probablement à sa fin ».
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